est ce que les chien peuvent attraper le covid

Lespropriétaires de chiens ont-ils plus de chances de contracter le Covid-19 ? Selon l’étude, qui porte sur 2000 personnes en Espagne, le fait de posséder un chien augmente les risques d’attraper Ilest de notoriété publique que les chiens ne sont pas très difficiles avec la nourriture, et que si on les laisse faire, ils sont capables de manger à peu près tout et n'importe quoi - y compris des excréments. Ce , [ Admin] [ Prod] [ Prex] SQL - PHP - DBG - C - Css - G - Pa - Po - S : Page : 3901: META: 54 & 224: File = 3901 ( ) · · · Onne sait pas exactement combien de temps le virus SARS-CoV-2, qui provoque la maladie Covid-19, peut survivre dans l’environnement. Une étude portant sur d’autres coronavirus suggère que ces derniers peuvent rester infectieux pendant plusieurs jours si la température et l’humidité sont adéquates. Étant donné que nous ne savons Ellea suggéré "qu’il est possible que le virus se propage dans les excréments des chiens". Les chiens peuvent-ils attraper la Covid Etpourtant, ils ne peuvent pas transmettre le coronavirus Covid-19 et quelques règles simples peuvent être suivies pour une cohabitation harmonieuse. L'Anses et l'ONG PETA nous conseillent pour assurer la sécurité et le bien-être des 63 millions d'animaux de compagnie qui vivent en France. Selon l'expertise de l'Anses réactualisée nonton film the real evidence laptop sub indo. Le cas d'un chien testé positif au nouveau coronavirus covid-19 inquiète les propriétaires d’animaux domestiques. Peuvent-ils attraper le nouveau coronavirus ? Le virus se transmet-il de l’animal domestique à l’homme ? Selectra fait le tour de la question pour vous. Sommaire Un chien contaminé par le COVID 19 L’ANSES affirme qu’il n’existe aucune preuve que les animaux domestiques peuvent transmettre le virus à l’homme Devis assurance animaux de compagnie Obtenez un devis en moins de 5 minutes Un chien contaminé par le COVID 19 Depuis qu’un chien à Hong Kong a été testé positif au test du COVID19, c’est un peu la panique chez les propriétaires d’animaux domestiques. L’information est surprenante et forcément porteuse de doute. Mon chien ou mon chat peuvent-ils me transmettre le Coronavirus ? Même si l’angoisse et l’émotionnel laissent à entendre une déduction facile, il va de soi que la réponse n’est pas si évidente et qu’il est en réalité que très peu probable que votre animal préféré puisse vous contaminer avec le Coronavirus. Vous pouvez vous rassurer et continuer à le côtoyer sans risque avéré ! L'ANSES, organisme très documenté, qui se consacre à assurer la sécurité sanitaire des aliments pour les humains et les animaux en France, indique qu’il n'existe aucune preuve que les animaux de compagnie et d'élevage jouent un rôle dans la propagation du virus SARS-CoV-2. L’ANSES affirme qu’il n’existe aucune preuve que les animaux domestiques peuvent transmettre le virus à l’homme L’OIE Organisation mondiale de la santé animal relate les propos suivants La propagation actuelle du COVID-19 est le résultat d'une transmission d'homme à homme. À ce jour, rien ne prouve que les animaux de compagnie puissent propager la maladie. Il n'est donc pas justifié de prendre des mesures à l'encontre des animaux de compagnie qui pourraient compromettre leur bien-être. Il est alors conclu par l’ANSES qu’il n’existe aucune preuve permettant d’affirmer que les animaux domestiques sont un vecteur de contamination pour l’humain et jouent un rôle dans la propagation du virus SARS-CoV-2», conclut l'Anses. Les experts de l’organisation affirment que le virus venu de la chauve-souris, ensuite transmis à une espèce hôte intermédiaire le Pangolin avant d’être transmis à l’homme, peut difficilement emprunter le cheminement inverse l’homme aura peu de chance de contaminer un animal domestique avec le COVID19. Pour illustrer ces propos, l’argument mis en avant par les spécialistes est qu'aucun virus » de cette même classe de coronavirus n'a jamais été décelé chez un animal domestique. En effet, chez certaines espèces, il existe un récepteur auquel se fixe le SARS-CoV-2 pour pénétrer au sein de la cellule. Cependant, la présence de ce récepteur n'est pas suffisante chez l’animal domestique pour permettre la réplication du virus. Il n’y a pas de contamination par voie digestive Il faut donc noter que si le virus a été identifié dans les cavités nasales et orales du chien de Hong-Kong, cela n’est en rien une preuve que le chien est contaminé par le COVID19. Il est surtout avancé l’hypothèse d’une contamination possible passive, c’est-à-dire que le virus peut être présent sur les muqueuses de l’animal sans pour autant qu’il s’y réplique ou que le chien soit contaminé par la maladie. Les experts expliquent donc qu’avec les connaissances et les informations qu’ils ont à ce jour, qu’une contamination par voie digestive n’est pas envisageable, mais qu’au contraire, une infection des voies respiratoires avec un masticage n’est pas pour autant improbable. En résumé, la présence du virus détecté sur le chien peut alors s’expliquer que ce dernier a eu un contact de muqueuse coup de langue par exemple avec des objets où le virus était déjà présent. En effet, le chien testé n’a présenté aucune réponse immunitaire présence d’anticorps par exemple et aucun symptôme issus du COVID19. Les coronavirus qui infectent les chiens sont très différents de celui qui touche les humains Il est important de comprendre que la transmission d’un virus de l’humain vers l’animal est une mécanique très complexe. Si le virus devait contaminer un chien par exemple, et se dupliquer dans son organisme, le SARS-CoV-2 doit pouvoir pénétrer dans ses cellules. Différentes études ont été faites à ce sujet Le virus utilise deux protéines pour pénétrer dans les cellules humaines la protéine ACE2 et la protéine TMPRSS2 ; Les chiens possèdent ces deux types protéines, mais elles sont pourtant différentes ce sont deux espèces distinctes ; Le virus est très adapté pour infecter les cellules humaines, mais ne l’est pas forcément pour infecter les cellules d’un chien. Des études sont en cours pour s’assurer que le SARS-CoV-2 ne peut pas se répliquer dans les cellules des animaux domestiques. Il faut alors savoir que les animaux de compagnies tels les chats et les chiens sont eux affectés par d’autres familles de coronavirus. Cependant aucun de ces virus n’a été transmis de l’animal à l’homme. Il également fort peu probable que les coronavirus canins et humains puissent se combiner. La fourrure comme vecteur de contamination ? Cependant attention, votre chat ou votre chien a donc très peu de risques d’être contaminé, ils peuvent cependant jouer un rôle de transmetteur ». En effet, par la voie de leur pelage, le virus est susceptible de se propager. Mathieu Werts, vétérinaire à Monthey VS discute à ce propos "Les chiens dont les détenteurs sont en quarantaine ne peuvent être sortis qu’en laisse et pour une courte durée afin d’éviter les contacts avec d’autres personnes et animaux". Garder les gestes de précautions Les risques sont minimes mais cela ne veut pas dire que nous ne devons pas prendre de gestes de précaution au contact des animaux de compagnie. L’académie de médecine 25 mars 2020 l’a rappelé dans son dernier rapport concluant qu'il n'y a pas de démonstration scientifique sur le risque de contamination de l'Homme par le virus à partir des animaux domestiques ni sur le risque de contamination virale d'un animal domestique à partir d'un malade ayant le Covid-19 Les coronavirus sont spécifiques à une espèce, c’est-à-dire que les animaux présentent des souches de type alpha et l'homme de type bêta. L' Académie de médecine a estimé que Ces données scientifiques suggèrent que le Covid-19 peut se transmettre aux chiens à partir du propriétaire contaminé" mais que "rien n'indique, pour le moment, que les chiens peuvent à leur tour contaminer, par des aérosols ou la salive, des personnes non infectées ou d'autres animaux rencontrés par exemple dans la rue Au vu des résultats, il est donc important de garder des réflexes d’hygiène de base pour faire barrière au virus pouvant être transporté par les chiens, chats, furets rongeurs par exemple. Tout comme tous gestes d’hygiène que tout être humain devrait avoir aujourd’hui, vous devez simplement veiller à vous laver fréquemment les mains après vous êtes occupé de votre animal ou après l’avoir caressé. Aussi, en bilan, l'Académie a recommandé de "renforcer les mesures habituelles de biosécurité vis-à-vis des nombreux agents pathogènes pouvant être transmis aérosols, salive, déjections par les animaux de compagnie chien, chat, furet, rongeurs notamment. La société savante a également conseillé de "se laver fréquemment les mains lorsque l'on s'occupe de l'animal litière, promenade, alimentation, etc., surtout s'il a été caressé. Il est donc fortement déconseillé de se laisser lécher le visage par son animal préféré. Conclusion aucune certitude à ce jour Si les animaux peuvent potentiellement transporter le virus, il n’y a aucune preuve à ce jour qui permet d’affirmer que les animaux de compagnie puissent se trouver infectés par le COVID 19. Par ailleurs, il a été indiqué en période de confinement où les habitants d’une habitation habitent avec une personne touchée par le COVID 19, que les risques les plus importants sont ceux qui impliquent un contact avec la personne directement infectée par le Coronavirus. En effet, en pareille situation, votre chien et votre chat seront pour le plus souvent un allié qu’une crainte. Il faut également noter que vous avez très peu de chance d’être contaminé directement par les croquettes de votre chien s’il est porteur du virus. Si vous devez être contaminé par un aliment, elle sera majoritairement d’origine humaine. En effet, une personne atteinte du COVID 19 peut contaminer très facilement l’ensemble de la nourriture à proximité en cuisinant, en les touchant sans se laver les mains, ou en les exposant aux fluides humains lors d’un éternuement ou en toussant. En respectant les gestes barrières, conseillés au quotidien par le gouvernement et la communauté scientifique, pour ne pas être infecté par les autres personnes contaminées par le virus, votre animal de compagnie restera alors votre meilleur allié du quotidien. Èvitez cependant de vous faire lêcher le visage par votre compagnon. SantéSantéEt si vivre avec un chien devait finalement être ajouté à la liste des facteurs de risque de la Covid-19 ? On vous explique bienfaits d’avoir un compagnon à quatre pattes sont nombreux baisse de la tension artérielle, renforcement du système immunitaire, lutte contre la solitude, aide à la vie active… Un chien permet également à son propriétaire d’avoir plus d’interactions avec les autres. En cette période d’épidémie néanmoins, où la distanciation sociale est plutôt de mise, cet aspect n’est pas sans une étude, qui sera publiée dans la revue Environmental Research de janvier 2021 déjà disponible sur Internet, les personnes qui promènent leurs chiens seraient en effet 78 % plus susceptibles de contracter la Covid-19. Mais est-ce vraiment juste parce qu’elles sont plus exposées aux contacts sociaux ?Des vecteurs pour le virus ?Pour les besoins de leurs recherches, les chercheurs de l'Université de Grenade Espagne ont interrogé individus sur leurs habitudes quotidiennes pendant la pandémie du coronavirus. L’objectif ? Identifier les activités les plus à risque. Or promener son fidèle acolyte constituait un facteur de risque significativement plus important que d'autres, puisque leurs résultats révèlent une "contagion plus élevée parmi les propriétaires de chiens".Partager sa routine avec un chat ou un autre animal ne semblait pas exposer davantage à une infection. Si des cas de coronavirus ont été constatés chez des chiens sans symptômes particuliers, aucune recherche n’a pour le moment montré qu’une transmission du canidé à l'homme est possible. Il est toutefois envisageable que les toutous, en touchant des surfaces publiques contaminées, ramènent des agents infectieux à la des auteures de l’étude, la Pr Cristina Sanchez Gonzalez, conseille ainsi aux tout de même heureux propriétaires de redoubler de vigilance sur les précautions d’hygiène — sans pour autant désinfecter son animal de compagnie avec du gel hydroalcoolique. Des recherches supplémentaires seront nécessaires pour déterminer le rôle des chiens dans la propagation du virus, indique le rapport. Il est possible, par exemple, que les germes se répandent à cause de leurs excréments, suggère la activités plus risquéesPour information, ces recherches dévoilent que l'activité la plus périlleuse serait de se faire livrer ses courses à domicile — davantage encore que faire ses emplettes directement à l’extérieur — car vous seriez alors 94 % plus susceptibles d’être contaminé. Dans un autre registre, le travail en présentiel plutôt qu’en télétravail augmenterait le risque de 76 %. Une étude portant sur les lieux les plus à risque est d'ailleurs à retrouver ici. Un mal de chien. Des scientifiques espagnols ont réalisé une étude , montrant que les personnes propriétaires d’un chien étaient plus susceptibles à 78% d’être touchées par le Covid-19. Ce qui est plus que le fait de se rendre au travail qui lui augmente de 76% la possibilité d’être contaminé par le coronavirus. L’enquête visait à sonder 2 086 personnes sur leurs activités pendant le confinement en Espagne entre mars et mai dernier. En a découlé le résultat que les maîtres de chiens étaient plus susceptibles, à 78%, de contracter le coronavirus. Mais la raison de cela n’a pas encore été découverte. Une transmission du chien à l’homme ? Néanmoins les experts ont émis quelques hypothèses. Il est possible que les propriétaires de chiens soient plus enclins à avoir des interactions sociales de part les promenades quotidienne qu’ils effectuent pour leur animal ce qui fait donc qu’ils aient plus de risque de contamination. Aussi certains spécialistes ont avancé l’idée qu’une contamination du chien à l’homme serait la cause de ce pourcentage élevé. Car il a été prouvé que les chiens pouvait être contaminés, de façon asymptomatique, par le Covid-19. Mais une étude de l’Institut Pasteur et de l’École nationale vétérinaire d’Alfort, affirme que les animaux domestiques ne sont pas aisément infectés par le Covid-19, même s’ils sont en contact rapproché avec le virus . Mais cette question de contamination reste toujours plausible au regard des spécialistes car des cas de transmissions du vison à l’homme ont été découverts. Les experts pensent que cette contamination pourrait aussi être transmise par les excréments. Mais pas de panique pour le moment, selon une étude de l’école vétérinaire VetAgro Sup de Lyon rien ne prouve que les chiens peuvent transmettre le virus à l’homme. A lire aussi Ces 20 photos d’animaux avant et après vont vous donner envie d’adopter L’huile de foie de morue, complément incontournable contre le Covid ? Rhume ou Covid ? Voici comment reconnaître les symptômes Colline Brassard, docteur vétérinaire et doctorante en anatomie fonctionnelle et en archéozoologie au Muséum national d’histoire naturelle MNHN, explique les conséquences d'une contamination de votre animal de compagnie, qu'il soit un chat, un chien ou un furet, si ce dernier est touché par le nombreux propriétaires de chats et chiens s’inquiètent que leur boule de poils préférée puisse ramener plus que la poussière dans laquelle elle vient de se rouler. L’inquiétude qu’elle puisse aussi véhiculer le virus dont on essaie de se tenir éloignés, a poussé certains à adopter des mesures extrêmes et dangereuses. Par exemple, certains désinfectent leur compagnon après la promenade à l’alcool ou à l’eau de javel, des produits hautement toxiques et à aussi - TRIBUNE. "Biodiversité il faudra tirer les conséquences de cette crise"Rappelons d’abord que les "coronavirus" représentent en fait un grand nombre de virus à couronne différents, parfois très fréquents, et que l’on retrouve chez beaucoup d’espèces animales. Le chat possède ses propres coronavirus, certains étant très virulents voire mortels, comme le coronavirus entérique félin FECV ou le virus de la péritonite infectieuse féline, PIF pour les intimes FIPV. Ces virus félins ne sont contagieux que pour les chats. De la même façon, certains autres coronavirus sont spécifiques à d’autres certains coronavirus, en particulier ceux de la chauve-souris, peuvent aussi infecter l’homme c’est le cas des coronavirus responsables du SARS et du MERS, ou encore de SARS-CoV-2, lui-même responsable de la maladie Covid-19.Les animaux peuvent-ils contracter le SARS-CoV-2?Actuellement, on sait très peu de choses sur le comportement du virus SARS-CoV-2 chez d’autres espèces animales. Or, savoir si les animaux de compagnie qui partagent notre quotidien peuvent être des vecteurs de contamination est un enjeu crucial de santé publique. Les chats et les chiens étant en contact étroit avec nous, il est important de comprendre leur sensibilité au faut différencier deux situations celle où ils ne seraient que des hôtes "accidentels" de celle où ils permettraient au virus de se multiplier et de se propager plus facilement dans une population. Dans le premier cas, comme des objets inertes, chiens et chats peuvent accrocher des particules du virus par contact avec des objets ou personnes contaminées, mais sans qu’il ne se réplique et ne puisse être excrété par l’animal. Cette contamination "passive" est liée à la possibilité de survie du virus sur un substrat, d’une durée très variable en fonction de paramètres comme la température ou l’humidité. Il n’y a pas encore de donnée quant à la survie sur les poils d’animaux. Celle-ci pourrait aller de quelques minutes à quelques heures, si l’on en croit le docteur vétérinaire Ludovic l’autre cas, si les animaux peuvent être infectés même si porteurs sains et s’ils sont capables de répliquer le virus, ils seraient alors des réservoirs du virus, susceptibles de les excréter et de les transmettre à d’autres individus de la même espèce, voire à l’homme. On notera ici que la présence d’un récepteur transmembranaire au virus ACE2 est attestée chez de nombreuses espèces animales, dont le chien et le chat, mais ce n’est pas une condition suffisante pour permettre l’infection de ces animaux, car d’autres éléments de la cellule sont aussi nécessaires à la réplication du cas de contamination d'animaux de compagnie sporadiquesQuelques rares cas de contamination d'animaux de compagnie par le SARS-CoV-2 ont été rapportés. Ces cas restent cependant extrêmement sporadiques et isolés, et des éléments contextuels sont à prendre en compte, comme l'a souligné l'American Veterinary Medical Hongkong, deux chiens en contact avec des personnes infectées auraient été testés positifs au virus. Cependant, les canidés n’ont pas présenté de signe clinique de la maladie. Pour le premier chien, un chien poméranien de 17 ans, seule une faible quantité de matériel génétique a d’abord été détectée, dans la bouche et le nez. Des anticorps dirigés contre le virus ont finalement été identifiés, mais le virus vivant n’a pas pu être isolé. Le chien est depuis décédé, probablement d’autres troubles liés à son âge très avancé aucune autopsie n’a été faite.Le deuxième chien, un berger allemand de 2 ans a été testé négatif quelques jours après le premier test, et l’autre chien du foyer n’a pas été contaminé. Le 27 mars, c’est le cas d’un chat qui a été reporté par les autorités belges. Le chat belge, dont la propriétaire était diagnostiquée positive au Covid-19, avait des symptômes respiratoires et des diarrhées, mais il se porte mieux un tigre a été testé positif au SARS-CoV-2 dans un zoo à New York dimanche 5 avril, probablement après s’être contaminé auprès d’un gardien malade, et six de ses congénères présentent des symptômes de la point sur les études scientifiques en coursCes cas sont suspects mais ne permettent pas de conclure quant à la dangerosité de la transmission de l’homme à l’animal ou entre animaux et encore moins de l’animal à l’homme. Les études qui s’intéressent à cela, de manière expérimentale, sont encore très chercheurs chinois du laboratoire de biotechnologies vétérinaires et du laboratoire national de haute sécurité pour le contrôle et la prévention des maladies animales de la ville de Harbin se sont demandés si le virus SARS-CoV-2 pouvait se transmettre de l'homme à d’autres espèces animales, dans des conditions expérimentales avec des animaux vivants. Cela permettrait d'identifier de potentiels réservoirs d'infection et d'adapter les mesures de sécurité sanitaire en résultats de l'étude sont disponibles sur le serveur bioRxiv, un service de publication de travaux non encore publiés ni corrigé par les pairs, donc à étudier avec résumé, Jianzhong Shi et ses collègues ont constaté que les furets et les chats sont très sensibles au SARS-CoV-2, les chiens faiblement et les animaux de basse-cour porcs, poulets et canards ne sont pas sensibles au virus. Chez les chats, le virus se transmettrait aux autres chats par des gouttelettes cette étude, les chercheurs chinois ont mené plusieurs expériences afin de tester les capacités de réplication et de transmission du virus et l’apparition de symptômes du Covid-19 chez ces différentes espèces animales, les jours suivant une inoculation intranasale par de fortes doses de deux souches du SARS-CoV-2 prélevées chez des malades humains.Les chats seraient relativement sensibles au SARS-CoV-2Dans l’une des expériences de cette même étude, cinq chats ont été inoculés. Trois d’entre eux ont été placés dans des cages individuelles et isolées. Trois chats naïfs » non inoculés ont été placés dans des cages individuelles et isolées, chacun à proximité de la cage d’un chat inoculé, afin d’étudier la possibilité d’une transmission du virus des chats inoculés aux chats chats étant agressifs du fait des conditions de captivité, les chercheurs ont dû se rabattre sur des prélèvements d’excréments prélèvements intra-rectaux seulement, car les prélèvements nasaux réguliers étaient difficiles. L’analyse des excréments a révélé la présence d’ARN viral chez les trois chats inoculés entre J+3 et J+5 après l’inoculation, mais aussi chez un des trois chats naïfs non inoculés mais exposés à un chat inoculé. Ce chat naïf contaminé par contact n’a développé aucun tous les chats inoculés, de l’ARN viral et du virus vivant infectieux ont été détectés plusieurs jours après le début de l’expérience J+6 ou J+12 dans les voies respiratoires supérieures voile du palais, amygdales et trachée, mais pas dans les poumons. La même chose a été constatée pour le chat initialement naïf mais contaminé par contact, indiquant que la transmission par gouttelettes respiratoires s’est produite pour une des trois paires de chats inoculé/naïf. Le virus n’a pas été détecté dans aucun organe ou tissu des deux autres chats naïfs exposés. Les trois chats inoculés et le chat naïf contaminé ont développé des anticorps contre le mêmes conditions expérimentales et tests ont été reconduits sur 10 chats juvéniles âgés de 70 à 100 jours et ont aussi suggéré que le virus pouvait se transmettre entre les chats par les gouttelettes respiratoires. L’examen histopathologique à J+3 a révélé des lésions massives des muqueuses nasales et trachéales, et des poumons des deux chats, suggérant que les jeunes sont plus permissifs que les étude suggère ainsi que les chats seraient sensibles au SARS-CoV-2 et pourraient, mais peu efficacement, transmettre le virus à d’autres des furets chez qui une immunité s'est mise en placeUne autre série d’expériences, toujours rapportée dans le papier de Jianzhong Shi et ses collègues, suggère que les furets seraient un bon modèle animal pour l’évaluation de traitements antiviraux ou de vaccins contre le Covid-19. En effet, il y aurait réplication du virus dans les voies respiratoires supérieures cornets nasaux, palais mou et amygdales pendant huit jours au maximum. La réplication ne se fait pas dans les poumons même dans le cas d'une inoculation intratrachéale.Deux des six furets inoculés ont développé des symptômes fièvre et perte d’appétit à J+10 et J+12. Une réplication dans le tube digestif semble aussi avoir lieu, puisque de l'ARN viral est retrouvé dans les excréments. Cependant le nombre de copies d'ARN viral est nettement inférieur dans ces prélèvements que dans les prélèvements nasaux, et ils ne contiennent pas de virus infectieux. Une immunité contre le SARS-CoV-2 s’est mise en place chez tous les le coronavirus responsable du SARS déjà, une étude avait suggéré que les chats et les furets domestiques pouvaient transmettre le virus à des animaux sains qui vivent avec eux. Pour cela les chercheurs avaient inoculé une dose concentrée de virus collectée chez un patient humain décédé du SARS directement dans la trachée de chats. Ensuite les chercheurs avaient fait des prélèvements à différents niveaux des voies respiratoires supérieures nez, trachée et dans le rectum à différents moments après l’infection. Aucun signe clinique n’avait été observé chez les chats, contrairement aux furets léthargie, mais tous étaient porteurs du virus. De plus aucun passage de l’animal à l’Homme n’avait été chiens seraient moins sensiblesDans leur étude, Jianzhong Shi et collègues ont aussi inoculé cinq beagles de trois mois, et les ont placés dans une pièce avec deux beagles naïfs. De l’ARN viral a été détecté dans les excréments de deux des chiens inoculés quelques jours après J+2 et J+6. L’un de ces chiens a été euthanasié à J+4 mais l’ARN viral n’a été détecté dans aucun organe ou tissu prélevé sur ce chien. Le virus vivant, quant à lui, n’a pas été détecté. Seuls deux chiens inoculés par le virus ont produit des anticorps contre le virus examen à J+14. Les chiens inoculés ne semblent pas avoir transmis le virus aux chiens naïfs. Ces résultats indiquent d’après les auteurs que les chiens ont une faible sensibilité au les porcs, poulets et canards, l'ARN viral n'a été détecté dans aucun des écouvillons prélevés sur les animaux inoculés ou les animaux de contact naïfs et tous les animaux étaient séronégatifs à J+14. Ces résultats indiquent d’après les auteurs que les porcs, les poulets et les canards ne sont pas sensibles au le 4 avril, ce sont les résultats d'une autre équipe chinoise qui sont disponibles sur le serveur bioRxiv, suggérant que la population féline de Wuhan a été contaminée pendant l’épidémie. Qiang Zhang et ses collègues ont mesuré le taux d'anticorps sériques dirigés contre le domaine de liaison au récepteur RBD du SARS-CoV-2 par dosage immunoenzymatique indirect ELISA chez des chats de la ville de Wuhan. Quinze échantillons sur les cent deux réalisés depuis l’apparition de la maladie se sont avérés positifs 14,7%. Onze de ces échantillons positifs contenaient des anticorps neutralisant le virus. Ces chats auraient pu être contaminés par l'Homme, mais il n'y a pas de preuve formelle en ce les chats, des études aux résultats nuancésLes résultats obtenus par les équipes de recherche chinoises sur les chats sont très intéressants, mais bien sûr potentiellement inquiétants et les chercheurs encouragent la mise en place de mesures de quarantaine et d’hygiène strictes aussi pour les animaux de convient cependant d’être conscients des limites de ces études. Même si le portage par le chat semble être avéré, les modalités de transmission de l'homme à l'animal et entre les animaux sont encore obscures. Dans l'étude de Jianzhong Shi et collègues, les effectifs sont petits 8 chats adultes et 10 juvéniles, et les chats ont été inoculés avec de fortes doses du virus, directement dans le nez, ce qui ne correspond pas à des risques de transmission réels de propriétaire à chat. L'effet de cette dose d’inoculation, en particulier, mériterait d’être exploré. De plus, le papier ne précise pas quelle était la disposition des cages, ce qui aurait pu nous éclairer sur le mode de transmission exact gouttelettes, fèces, urine. Seul un chat sur les trois naïfs a contracté le virus, ce qui suggère une transmission somme toute peu plus, aucune des deux études évoquées plus haut ne s’est intéressée à un retour de contamination de l’animal à l’homme il n’est pas dit que les animaux inoculés ou contaminés par contact soient contaminants pour nous. Il n’y a en effet, à ce jour, aucune preuve directe que les chats positifs au virus sécrètent assez de virus pour le transmettre à des études préliminaires appellent donc surtout à la poursuite d’autres études expérimentales, à plus grande échelle, pour préciser les modes de transmission d’Homme à animal ou inter-animale ou même de l’animal à l’Homme.N'abandonnez pas votre animal de compagnie, protégez-leCes dernières découvertes ne doivent en aucun cas vous conduire à envisager d'abandonner votre animal par peur qu'il ne vous communauté scientifique s'accorde d'ailleurs à dire qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter outre mesure, puisque les chats ne semblent pas être un facteur majeur dans la propagation du virus, qui est surtout liée à la transmission d’humain à humain. C’est d’ailleurs la position que tient l'Agence nationale de la sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail ANSES et l'Organisation mondiale de la santé animale OIE.Puisque mieux vaut prévenir que guérir, il est recommandé de séparer autant que possible les animaux de compagnie des personnes atteintes, de limiter les sorties, et de respecter des mesures d’hygiène élémentaires éviter les léchages, se laver les mains après un contact avec l’animal et nettoyer régulièrement gamelles et litière, le savon étant le meilleur désinfectant puisqu’il détruit la membrane du se pourrait bien que de futures études révèlent qu'en protégeant nos compagnons à poils, nous nous protégeons aussi. Garder son animal près de soi pourrait permettre de limiter la propagation du virus, alors que l'abandonner ne ferait qu'augmenter sa article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original. Ce qui se passe dans la tête d’un chien Phébus ou Dolly ont l’habitude de passer la journée à la maison en attendant le retour du maître. Le chien est un animal social, il a besoin de la présence du maître et du contact avec ses congénères » précise le docteur Marianne Aliaga. Phébus ou Dolly voit donc le confinement d’un bon œil, dans la mesure où son maître préféré est confiné avec lui à la maison. C’est la promesse de plein de caresses et d’attentions. Le chien sort en promenade, aujourd’hui comme hier, aucun changement. Le maître a le droit de sortir son chien d’où nombre de vidéos drôles où l’on voit un chien épuisé d’avoir été baladé par tout le quartier. On croise moins de chiens, en revanche, ils sont promenés moins longtemps et dans le respect de la distanciation sociale. Il y a moins d’interaction entre les chiens. Ils ne sont plus lâchés dans les parcs ou les bois, d’où une tristesse chez certains animaux » continue la vétérinaire. Ce qui se passe dans la tête d’un chat Mario ou Nina se retrouvent obligés de partager la maison avec leurs humains. Le chat est un animal territorial » rappelle Marianne Aliaga. Même attaché à son maître, il doit gérer aussi la question des mètres carrés. Si Mario est très attaché à son maître, il sera ravi de l’avoir H24 à la maison. On le voit à sa demande de câlins plus importante que d’ordinaire. En revanche, si Nina prend ses distances, c’est qu’elle a du mal à trouver sa place dans la redistribution de l’espace. Si à 16h elle a pour coutume d’aller sur le canapé, elle sera déstabilisée d’y trouver quelqu’un Charles, 15 ans, couché devant la télé. D’elle-même elle mettra en place de nouveaux rituels, aucune inquiétude. Ce n’est pas un hasard si le chat vit davantage la nuit en ce moment, courant, jouant quand les humains dorment. En revanche, un chat qui ne sort pas n’en aura pas plus envie en ce moment J’ai eu beaucoup de demandes de harnais pour chat au début du confinement les maîtres disaient que cela ferait du bien au chat de se promener » raconte la vétérinaire. C’est plutôt le maître qui a des fourmis dans les pattes. Ce que l’on peut demander au vétérinaire Si le vétérinaire est supposé n’intervenir que pour les urgences, on peut tout de même lui demander une castration ou une stérilisation, les jeunes animaux étant dans la période des amours. Ne pas stériliser un animal, c’est assurer des nuisances marquages, urines, vociférations aux maîtres qu’ils ne seront pas en mesure d’assumer pendant une telle période. Ne pas hésiter à faire stériliser son chat ou son chien. Chez le véto en ce moment, on peut acheter des aliments, demander des conseils si l’animal mange plus que d’habitude ou a des problèmes digestifs. S’il est triste. S’il a des problèmes de propreté soudaine. Les maîtres étant plus présents, ils remarquent des choses qu’ils ne voyaient pas avant et s’en inquiètent » remarque la vétérinaire. D’où plus de consultations au téléphone, de visu, s’occuper de son animal étant une manière aussi de calmer l’angoisse lie au confinement et au coronavirus. D’ailleurs, à l’heure actuelle, rien ne dit que l’animal puisse être le vecteur de la maladie, ni la transmettre ni l’attraper. Inutile de le frotter avec du gel hydroalcoolique ou de l’eau javellisée coma et empoisonnement au bout du compte. Votre animal domestique risque surtout, par sa présence, ses câlins, de vous apporter bien-être et détente. Ces temps-ci, les associations enregistrent beaucoup de demandes d’adoption. A lire Ces animaux qui nous apprennent à vivre », les plus belles histoires de coeur entre l’homme et l’animal, de Claire Aubé et Cécile Sylvestre éditions Leduc A lire également Confinement et télétravail 35 clichés qui témoignent d’un co-working hilarant entre animaux et humains Confinement une forte demande de location » de chiens alarme les associations 11 bonnes raisons d’adopter le comportement de notre chat pendant la quarantaine

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